Jaislamer | La ville dorée du Rajasthan

25 février 2017 suite… (bien tard le soir)

Nous sommes arrivés en pleine nuit à Jaisalmer. Notre train Jodhpur-Jaislamer qui devait quitter à 17:45 a finalement quitté avec plus de 45 minutes de retard… (Rien de bien étonnant pour le système ferroviaire en Inde!) Pour la première (et dernière) fois de notre voyage, nous avions pris un train en première classe. Nous n’avons jamais eu autant hâte d’arriver! 😛 En Inde, il existe 8 classes de billets de train… Pour tous les détails, (sur les trains en Inde, mais aussi partout dans le monde) nous aimons consulter ce site ultra-bien fait : Seat61. Notre expérience en première classe ne s’est pas très bien déroulée puisque l’employé de notre wagon tentait de nous soutirer de l’argent à toutes les occasions (bien que les billets que nous avions coûtent 2x le prix de la 2e classe et pratiquement le même prix qu’un billet d’avion). Une chance qu’il était possible de barrer notre porte pour avoir la paix! À 18h00, il est venu nous voir pour nous dire qu’il allait faire nos lits (les sièges se transforment en lits superposés pour la nuit). J’ai eu beau lui demander de nous laisser les draps et insister, parce que nous n’avions aucune envie d’aller au lit aussi tôt, il a fait semblant de ne rien comprendre et a fait les lits. Quand il a eu terminé, il est resté là en attendant qu’on lui donne un pourboire… Il a fait la même chose en venant rechercher les draps une trentaine de minutes avant notre arrivée en gare. C’était vraiment malaisant de le voir planté là, dans notre cabine, pour plusieurs longues minutes alors qu’il n’avait rien fait de plus que son travail. Nous avons eu le même service (sans situation de la sorte) lors de nos voyages en 2e classe. En tout cas, c’est une bonne chose que nous n’avions qu’un seul train de réservé en première classe!

Pour votre information, Jaisalmer est une ville fortifiée du Rajasthan située à 100 km de la frontière du Pakistan (ce qui explique les nombreux camps militaires à l’entrée de la ville). Depuis le xvie siècle, la cité a commencé à s’étendre au pied de la forteresse. Actuellement, un quart des Jaisalmeris habitent dans la forteresse (environ 3000 personnes), tandis que trois quart des habitants vivent aux alentours. La grande région de Jaisalmer compte 100 000 habitants et on considère cette ville comme un village. (Bienvenue en Inde!) Malheureusement, le fort de Jaisalmer s’affaisse progressivement et plusieurs tours se sont déjà effondrées dû à l’utilisation excessive de l’eau dans l’enceinte du fort. Depuis quelques années, le gouvernement de l’État du Rajasthan a entrepris plusieurs projets de restaurations. Par ailleurs, le fort a été ajouté en 2013 à la liste du Patrimoine mondial de l’Humanité par l’Unesco. Le présume que le surnom de la ville provient de la couleur sable des pierres utilisées pour construire le fort… Mais je n’en suis pas certaine!

Bref, à notre arrivée à la gare, nous sommes partis à la recherche d’un rickshaw pour nous amener à notre auberge. Malheureusement pour nous, dans un si petit village, il n’y a pas UBER… Nous avons eu droit à tout de sorte de prix allant de 50 à 200 rupees. (Définitivement, il y a des gens qui n’ont pas compris l’art de la négociation!) Comme j’avais lu dans le Lonely Planet que la course devait nous coûter 40 rupees, j’ai insisté un peu et nous avons fini par trouver un preneur. Il nous a alors amené à son rickshaw et nous a demandé d’attendre parce qu’il devait aussi ramasser deux de ses « amis »… Je n’aimais pas trop l’idée, mais j’étais trop fatiguée pour m’obstiner. Il est revenu une dizaine de minutes plus tard avec deux japonais et nous a annoncé que nous allions devoir partager le transport en payant 40 rupees par « couple ». (Ce qui ne faisait aucun sens puisque notre négociation initiale était pour nous seulement.) Alexandre a donc sorti ses qualités de grand négociateur (appuyé des deux japonais) et, réalisant qu’il allait perdre les deux courses s’il ne flanchait pas, le chauffeur a accepté de nous amener pour 20 rupees chacun. Yé! Nous avions finalement l’impression de ne pas nous être fait avoir! Par contre, j’ai du faire la course (qui n’était heureusement pas trop longue) assise sur les genoux d’Alexandre. C’était très inconfortable, mais la satisfaction que nous avions d’avoir réussi à négocier de la sorte faisait notre bonheur! (Oui, on parle d’une course à moins de 0,50$ puisque 50 rupees correspondent à environ 1$CAD, mais c’est pour le principe! :P)

Bien que nous pensions avoir terminé nos aventures pour cette (longue) soirée, nous avons eu une petite frousse en arrivant à l’auberge parce que les lumières était fermées et la porte d’entrée était verrouillée. Notre chauffeur, qui n’était pas content du peu de profit qu’il avait fait avec la course, est parti sans même s’assurer que nous étions entrés. Nous avons cogné, sans réponse. Puis, avons tenté d’appeler. Après quelques minutes, nous avons réussi à rejoindre le propriétaire qui s’était endormi dans son bureau (pensant que la porte avant était débarrée). C’est alors que nous avons rencontré Aladdin, notre hôte, un homme très sympathique qui nous a tout de suite fait sentir comme à la maison. En plus, l’auberge (Fort Side Hostel) était super bien située, à distance de marche de tous les éléments importants de la ville, avec une terrasse avec vue sur le fort et des chambres propres. Quel bonheur après une telle soirée!

26 février 2017

Ce matin, nous nous sommes levés tard vu notre arrivée en pleine nuit de la vielle. Quand nous sommes montés sur la terrasse pour déjeuner, nous avons rencontré un québécois. Notre premier depuis le début du voyage! En plus, Olivier, est un petit gars de… Mont-St-Hilaire! C’est fou comme le monde est petit. Il était en Inde pour 5 semaines, entre autre pour faire une retraite de yoga à Rishikesh (dans le nord de l’Inde ) avec le studio de yoga PurÉquilibre où Alexandre et moi avons fait plusieurs cours!

Vue de notre auberge

Après plusieurs heures de discussions (où nous tentions sans grand succès de compléter notre dernier post sur le blogue), nous avons quitté l’auberge pour aller visiter le fameux fort que nous observions quelques minutes plus tôt en déjeunant. Notre plan pour la journée : ne pas avoir de plan, partir explorer le fort et se perdre (volontairement) dans les ruelles de la portion fortifiée de la ville. Ce que nous avons fait, jusqu’à ce qu’on rencontre des gens qui jouaient au cricket. Ils ont invité Alexandre à se joindre à eux. (Les filles ne font pas vraiment de sport en Inde… J’ai quand même eu l’autorisation de les regarder jouer… J’étais la seule fille à proximité!) Pendant la partie, Alexandre a fait 9 points (il tenait que je précise) mais, il n’a impressionné personne quand il a tenté de courir avec ses gouguones! À comparé des indiens (pour qui les gougounes semblent former une deuxième peau) c’était drôle de le voir essayer de courir! Il y a même un de ses coéquipiers qui a tenté de lui expliquer comme serrer ses orteils suffisamment fort pour gagner en efficacité… À sa défense, la partie de cricket avait lieu sur un sol sablonneux/rocheux parsemé de déchets… (pas question de se retrouver nu pieds simplement pour faire quelques points supplémentaires!) et pour rajouter au portrait, la balle tombait de temps à autres dans l’égout juste à côté où coulait un liquide grisâtre plein de déchets. Un beau moment en Inde! ?

Le cricket, c’est sérieux en Inde! Que ce soit une partie de calibre international ou une partie en amis dans le fond d’une ruelle, ça ne fait aucune différence!

Après la partie, l’un des joueurs nous a invité à venir admirer le coucher de soleil de son balcon, qui était en fait un des remparts du fort. La vue était magnifique et nous y sommes restés jusqu’à ce que le soleil soit complètement couché.

27-28 février 2017 – Safari à dos de chameau dans le désert du Thar 

C’est avec Trotters Camel Safari Jaisalmer que nous avons décidé de tenter l’aventure d’un safari à dos de chameau et nous n’avons pas été déçus puisque c’était, tel que promis, toute une expérience! (Mes muscles endoloris et mes os de fesses meurtris me permettent d’ailleurs de prolonger le plaisir… Hihi!) Sans blague, nous avons bien aimé l’expérience et nous la recommandons sans hésiter. Seul petit conseil : si vous n’avez jamais monté sur un chameau de votre vie, vaut mieux prendre la version courte du safari (1 ou 1 1/2 journée). Nous nous sommes consolés en pensant à ceux qui avaient pris le safari de 21 jours jusqu’à Bikaner!

Préparation du déjeuner

Au programme nous avions 2 journées complètes d’aventure :

  • Transfert en Jeep de safari jusqu’au début du safari (où nous avons rencontré notre guide, notre cuisiniers et nos chameaux)
  • Déjeuner et levé du soleil dans le désert
  • Balade d’une heure et demi en avant-midi
  • Dîner végétarien et « pause-chaleur » de 11h00 à 15h00 (Nous avions été avertis de nous amener quelque chose à faire pour passer le temps : lecture, cartes… Finalement, nous en avons profité pour discuter avec les deux londoniens qui nous ont accompagnés dans cette aventure : Hannah et Toby!)
  • Deuxième balade d’une heure et demi en après-midi
  • Arrivée au campement en fin de journée
  • Souper et feu de camp
  • 2e journée : On a répété les points 2 à 5 pour ensuite retourner en ville à bord d’un Jeep

Voici en rafale les quelques highlights de cette aventure :

C’est comique un chameau qui se couche :

Au cours de l’après-midi, la montre d’Alexandre indiquait 38 degrés… La pause à l’ombre entre 11h00 et 15h00 était donc bien méritée, tant pour nous que nous les chameaux! Je lève notre chapeau à nos deux guide qui préparaient le repas sur le bord d’un feu de camp pendant cette canicule!

Une bonne bière et quelques bonnes histoires entre amis en fin de journée

Le programme ne mentionnait pas la présence de bibites au coucher et notre petit matelas au sol faisait de nous des proies faciles… Par chance, j’avais mon drap d’auberge qui m’a permis de me momifier afin d’éviter tout contact possible avec les insectes. Étonnamment, j’ai réussi à bien dormir cette nuit-là!

Lits pour la nuit

Au lever le lendemain matin, alors que nous déjeunions paisiblement avec nos nouveaux amis, le guide s’est mis à soulever lentement nos sacs à dos du bout des doigts… comme s’il était à la recherche de quelque chose. Après quelques minutes, il nous a dit qu’il y avait un « cobra » dans le sac à dos d’Alexandre puis, a demandé à Alexandre d’ouvrir lentement son sac. Euhhhh ok (Bonjour la sécurité!)… Il a finalement ouvert lui-même le sac pour y laisser s’échapper un mini-serpent d’environ 20 cm de long qu’il a tout de suite attaqué d’un bâton beaucoup trop gros pour la tâche. Le serpent n’a eu aucune chance… Définitivement qu’il y a eu une situation de « lost in translation » ce matin-là, puisque nous étions tous apeurés à l’idée de voir tomber un gros cobra du sac à dos! 😛 Nous n’avons pas été en mesure de savoir s’il était venimeux ou pas…

Même ce chameau n’avait pas l’air impressionné de la situation du serpent

La deuxième journée, après un copieux dîner, nos deux guides sont partis à la recherche de nos chameaux, qui malgré leur pattes attachées, s’était rendus pas mal loin! En effet, lors de la pause du dîner, les chameaux étaient « relevés de leurs fonctions » (les guides enlevaient leur selles et attachaient leurs pattes avant ensemble pour éviter qu’ils partent brouter trop loin!). Pourtant, ce midi-là, les guides ont mis une quinzaine de minutes à les retrouver… et les ont ramenés au campement comme 5 adolescents qui venaient de faire le trouble où ils n’était pas supposés. Puis, ils les ont fait coucher pour leur remettre leurs selles. Je ne connais rien aux chameaux, mais mes observations des deux derniers jours me permettent de penser que ce sont des « drama queens ». Quand les guides installaient leur selle, ils se mettaient à crier avant même que les coussins (qu’ils mettent sous la selle, probablement pour assurer le confort du chameau et du cavalier) ne soient déposés sur le dos. Puis, une fois debout, ils marchaient sans chialer les uns à la suite des autres… Vraiment, même pour une touriste amoureuse des animaux et soucieuse de leur bien-être, ils n’étaient pas crédibles!

Hannah a fait une drôle de constatation pendant notre séjour… Elle a remarqué que la démarche des chameaux aux pattes avants attachées ressemblait beaucoup à la danse de Beyoncé! Pouhahah. Je ne sais pas si c’est le soleil ou la fatigue, mais nous avons trouvé cette comparaison particulièrement comique. À vous de juger…

Voici la version « chameaux » de la danse :

Puis, celle de Beyoncé (à 0:41 dans le vidéo et possiblement plus loin à nouveau…) :

Situation cocasse, en soirée, nous avons voulu montrer une photo à notre guide sur le téléphone d’Alexandre. Nous trouvions qu’il la regardait pas mal longtemps, pour finalement réalisé qu’il était en train de regarder l’ensemble des photos du téléphone! 😛 Pas  de problème… Un autre touriste nous a mentionné qu’il avait fait la même chose la veille. Eh bien! Pourquoi pas!

Le dulla – Un organe de la gorge du dromadaire qui se gonfle pour attirer les femelles

C’est drôle de penser que depuis que nous sommes en Inde, nous mangeons principalement des plats végétariens, par contre nous n’avons jamais si peu mangé de légumes verts et/ou frais. Ici, les plats végétariens sont synonymes de plats en sauce, souvent à base de lentilles ou de féculents, accompagnés de chapati ou de riz. Les salades vertes nous manquent terriblement!

Vraiment, on garde un super souvenir de cette aventure! 🙂 La preuve, nos sourires malgré nos fesses endolories! (Sans parler de nos coups de soleil… Merci à la crème solaire indienne que nous avions achetée et qui ne fonctionnait pas du tout. Nous avions l’impression d’étendre de la pâte à dents sur nos peaux – sans l’odeur. C’était épais, tout blanc et surtout, sans aucun effet…)

C’est en train que nous quittons Jaisalmer vers une autre ville désertique Jaipur. Nous avons bien hâte de voir ce que la « ville rose » nous réserve. Définitivement, ils aiment les surnoms colorés pour les villes du Rajasthan!

À très bientôt.


Dernière chose… petite note sur un scam qui a lieu à Jodhpur-Jaisalmer. Eh oui, nous sommes tombés dans la panneau! (Mais nous ne sommes pas les seuls… Nous avons appris l’existence de ce scam en discutant avec Hannah et Toby à qui la même situation est arrivée!)

L’arnaque est bien simple. Un homme vous accoste au marché de Jodhpur. Comme tous les gens qu’on croise en Inde, il vous demande d’où vous venez et votre prochaine destination en Inde… Si vous avez le malheur de dire que vous allez à Jaislamer (une destination très commune sur le circuit touristique), il vous répondra qu’il est de Jaisalmer. Puis, il vous proposera « innocemment » de lui payer une bière si jamais vous le croisez à Jaisalmer. Voulant m’en débarrasser, j’ai accepté, pensant que je ne le reverrait jamais. Eh bien, quelle ne fût pas ma surprise de le croiser à la sortie du fort à Jaisalmer… Inutile de vous dire qu’il nous a reconnu tout de suite! Alexandre n’était pas très impressionné de la promesse que je lui avait fait. Comme une promesse c’est une promesse et que l’homme était plutôt insistant, nous avons accepté de lui donner le 100 rupees qu’il demandait… (C’est peut-être l’Inde qui commence déteindre sur moi, mais je ne voulais pas risquer de gâcher mon karma en ne tenant pas ma promesse! :P)

Hannah et Toby, qui était beaucoup plus sympathiques que nous (trouvant que c’était de « bonne guerre ») ont accepté sans broncher de lui donner l’argent. L’homme les a alors invités à un mariage dans la région. Par hasard, ils en ont discuté avec leur hôte à Jaisalmer qui leur a fortement déconseillé d’y aller, au risque de se faire voler leurs effets personnels et de se faire soutirer davantage d’argent. Une autre belle affaire! J’aurai au moins appris quelque chose : ce n’est pas une bonne idée de faire des promesses à des inconnus! Je le saurai pour la prochaine fois…

P.S.: Si vous avez encore du jus (ou du temps) nous avons insérer les photos manquantes dans l’article précédent sur Jodhpur, la ville bleue du Rajasthan! Bon visionnement. 🙂

10 Replies to “Jaislamer | La ville dorée du Rajasthan”

  1. Catherine dit :

    J’étais en retard dans mes lectures et je viens de lire cet article du blogue… J’ai vraiment ri haha!! À bientôt!! 🙂 xoxox

    1. Geneviève dit :

      ? Que d’aventures dans le désert! Contente que l’article t’aie plu. Pas de presse pour les lire, ils sont là pour rester! xoxoo

  2. Que d’aventures! Ça doit être une affaire de « pattes »!!! ?
    Pour les Indous vous avez l’air de 2 portefeuilles sur deux pattes….?
    Au crickets, les pattes d’Alexandre avec des gougounes ne sont pas habituées d’être aussi compétitives que d’habitude….?
    Et les pas de danse des « pattes » de Beyoncé paraissent mieux que celles du chameau, seulement à cause que les « pattes » d’en avant de ce dernier sont attachées…?
    Donc, faites attention où vous mettrez les « pattes » si vous ne voulez pas vous retrouver dans la ?….????

    1. Geneviève dit :

      Bien dit, ça résume très bien la situation! Quel poète 🙂

  3. Salut vous deux! À mes yeux, l’Inde mérite définitivement un détour; tout y semble tellement différent de nous, coloré et chaleureux….avec quelques ajustements bien sûr vu les négociations requises pour presque tout….et la loyauté parfois questionnable! L’aventure en chameau semblait également vraiment particulière. Ce que vous y vivez est unique; continuez à en profiter pleinement!

    1. Geneviève dit :

      Merci beaucoup Maman, une autre destination que tu pourras ajouter sur ta liste! En plus, tu sais à quoi t’attendre, le choc sera donc (un peu) moins grand 😉 xoxox

  4. Le dalla… Êtes-vous certains que ça attire les femelles cette affaire-là??? ?
    J’ai l’impression que je me serais laissé attendrir par le braillage des chameaux…?
    Moi qui considère Alexandre un champion de la gougoune, j’aurais bien aimé voir la performance de ceux qui le surpassaient en maniement de la gougoune!!!! ?

    1. Geneviève dit :

      C’est ce que les Internets disent! Personnellement, je trouvais ça dégeulasse ou à la limite ça ressemblait à une bulle de gomme balloune, mais certainement rien de séduisant! ? Si tu considères Alexandre comme un champion, tu serais grandement impressionnée par les indiens! Hihi.

  5. Awww les chameaux sont trop beaux !! 🙂 et j’ai tellement rit lorsque j’ai lu le commentaire d’Hannah : du vrai Beyoncé dans les démarches de ces drama queens 😛 haha

    1. Geneviève dit :

      Malgré tout, ce sont de belles bêtes. Ils ont l’air un peu imbéciles, mais tellement fiers! ?? C’était comique à voir! Haha.

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