Jours 17-18-19-20 : Trek Laugavegurinn

C’est officiel, nous avons réussi notre rîte de passage en Islande avec le Trek Laugavegurinn, qui correspond à une marche de plus ou moins 55 km entre la réserve naturelle de Landmannalaugar et Þórsmörk. Je dis « environ », puisque d’après notre GPS, nous avons parcouru 63,22 km… Et nous avons suivi le chemin! En tout cas! L’important c’est que nous avons réussi le trek le plus populaire en Islande et nous en sommes très fiers!

J’espère que le message d’aujourd’hui ne vous semblera pas trop décousu… Nous avons pris quelques notes (sous forme de mots-clés) au cours de notre marche et j’ai tenté de vous retranscrire le tout dans le message ci-dessous! Bonne lecture! 🙂 

Jour 1  : Landmannalaugar à Hrafntinnusker (12km)

Donc… Même si la nuit passée a été courte (nous nous sommes couchés vers 1h00 du matin afin d’écrire sur le Blog et de parler à nos parents sur Skype), nous nous sommes levés à 6h15 afin de préparer nos sac à dos pour cette randonnée! Malgré la fatigue, nous n’avons (presque) rien oublié! En fait, Alexandre a oublié sa serviette qui devait servir à nous essuyer en sortant des traverses de rivières… Mais comme nous sommes des « reals », on a pu fait sans! Fait intéressant, comme il a plu pendant la nuit (pour une 3e nuit de suite), nous avons dû amener la tente bien mouillé pour notre trek… Quel « bonheur » nous avons eu de l’ouvrir pour la première nuit… (Je vous raconterai!)
L’autobus que nous avons pris quittait Reykjavík à 8h00 pour Landmannalaugar. La route, d’une durée de 4 heures prévoyait des arrêts dans une multitude de petites villes afin d’embarquer et de débarquer d’autres voyageurs. Cela (et les narrations du guide sur ce qui nous entourait) a un peu empêché le sommeil que nous pensions récupérer en route vers notre trek… Mais bon! Il a plu pendant tout le trajet, ce qui était peu encourageant sur la température qui nous attendait à notre arrivée! Comme de fait, nous sommes arrivés au point de départ sous la pluie. Nous avons donc décidé de dîner avant de partir.
Jour 1 : C’est parti, sous la pluie! (Je suis prête, mais un peu stressé par le fait que la première journée est la pire en terme d’altitude à monter… Finalement, tout c’est bien passé!)








Il y avait beaucoup de randonneur avec nous. L’autobus était plein! Il s’agissait majoritairement de gens qui faisaient le même trek que nous, mais aussi de certaines personnes qui allaient à Landmannalaugar seulement pour la journée. Ceux qui étaient là uniquement pour la journée semblaient nous trouver « bien trippeux » de partir comme ça pour une aussi longue distance avec nos sacs à dos. Nous avons d’ailleurs rencontré deux françaises qui n’en revenaient pas et qui nous souhaitaient « Bon courage! » comme si on s’apprêtaient à marcher pendant un an! Hihi. Bref, ils devaient se sentir comme Alexandre et moi lorsque nous voyons des gens qui ont décidés de traverser l’Islande à vélo… De vrai fous! 

Pour transporter notre équipement de camping/de cuisson et notre nourriture déshydratée, nous avions environ 100lbs de choses à amener avec nous dans nos sacs à dos. Alexandre avait environ 60lbs et je transportait le 40lbs restant… C’était bien lourd! Alexandre a d’ailleurs pris un peu de mon poids au fur et à mesure que nous mangions et que le poids des choses à transporter diminuait! 

Alexandre ultra-fébrile alors que le point de départ disparaît au loin…

Avant de partir, nous nous sommes enregistrés à la première auberge. Et par la suite, nous avons dû nous enregistrer à chaque auberge que nous croisions sur notre trajet. De cette façon, ils pouvaient savoir combien de personnes sont sur la marche en tout temps… ce qui peut être pratique dans le cas d’une irruption volcanique! Mais, heureusement, nous n’en avons pas eu.

Autre fait intéressant, nous avons pu payer tous nos camping avec nos cartes de crédit! C’est incroyable comme il y a peu d’échange d’argent comptant dans ce pays… Pour un environ 1 mois de voyage, nous n’avons eu besoin que de 100$ (10 000 kronas) et ce, principalement pour avoir de la monnaie pour faire du lavage!

 

Ça fume! (Sans compter la forte odeur de souffre qui s’en dégage!)
Tant que ça reste comme ça et pas plus, ça me va.

Youhou, fini la pluie et même la grêle, c’est le retour du soleil. (Attention de ne pas cligner des yeux… La température change très rapidement dans les montagnes!)

On peut voir notre premier campement au loin : Hrafntinnusker

 La route c’est super bien passée finalement. Sans être facile, ça ne nous a pris que 4 heures faire les 12km de notre première journée. Il y avait beaucoup de montrée et quelques descentes, mais tout c’est bien passé, sous la pluie ou la bruine (et même sous la grêle pour un moment), pour la majorité du temps. Comme lors de notre randonnée précédente, nous avons traversé plusieurs tas de neige de quelques mètres de large et en général, le sol était bien tapé (et surtout bien indiqué), ce qui facilitait la marche.

Tout juste avant d’arriver au campement, nous avons aperçus une plaque commémorative sur le bord du chemin. C’était pour commémorer la mort d’un japonais en 2005 pendant un blizzard… C’est triste de penser qu’il était presque rendu au campement (environ à 2,5 km). Comme Alexandre et moi avons remarqué, ce n’est pas tant la marche qui est exigeante, mais plutôt sa longueur et les nombreuses variations de température. Il était donc primordiale d’être bien équipés en terme de vêtements chauds/imperméables et de nourriture avant de partir.

Vue sur le glacier à partir de notre tente

Installation d’une corde à linge dans notre tente pour faire sécher nos vêtements détrempés par la pluie/bruine de la première journée… et dire que ce n’est que le commencement!

Sur la photo ci-dessus, je suis souriante… Mais ça c’est après la déprime passagère de notre arrivée au campement. Ça m’a pris au moins une heure pour me réchauffer… En fait, nous avons dû installer la tente sous la pluie battante, pour ensuite réalisée que même l’intérieur était mouillé. Comme nous n’avions pas de serviette pour l’essuyer, nous avons dû « sacrifier » une paire de boxer d’Alexandre afin d’essuyer le plus d’eau possible. Comme ça commençait bien notre aventure! -_-  Aussi, en plus de la pluie, notre tente c’est rapidement rempli de sable volcanique… Non seulement ça colle partout, mais avec les forts vents, ça n’aidait pas du tout! Une chance qu’Alexandre nous a préparé une soupe Lipton Poulet et nouilles à notre arrivée pour aider à nous réchauffer et surtout, nous aider à oublier la pluie et l’humidité!

Une fois réchauffés et bien installés, nous sommes allés nous
enregistrés à l’intérieur du premier campement/auberge (bien mouillés/transis et un peu fatigués). En entrant à
l’intérieur de l’auberge (qui était chauffée à plus de 25 degrés!), j’ai
succombé à la tentation de demander s’ils avaient encore de l’espace… 
Malheureusement, il ne restait qu’une seule place pour la nuit. Alexandre m’a proposé de resté à l’intérieur (alors qu’il aurait été dormir dans la tente), mais j’ai résisté à la (très forte) tentation! Nous avons donc tous les deux passés la nuit sous la tente parmi nos vêtements mouillés suspendus… J’ai quand même décidé de réserver deux place dans la prochaine auberge pour la nuit suivante… Tant pis si c’était 5x plus cher que de faire du camping, ce n’était pas vrai que j’allais passés 6 jours humides!

Malgré tout, nous avons bien dormis. 🙂

Jour 2 : Hrafntinnusker à Álftavatn (12km)

Nous nous sommes levés ce matin avec un épais brouillard qui nous empêchait de voir le joli glacier que nous étions en mesure de voir la veille, mais finalement, avec le lever du soleil, le brouillard c’est dissipé. Fiou! Une fois la température de notre côté, nous sommes partis vers notre prochaine destination. Nous avions un autre 12 km à faire.

On quitte notre premier campement. Le monticule de roche servait à protéger notre tente des forts vents. Comme nous étions au sommets d’une montagne (bien exposés aux éléments de la nature), il était préférable de bien se protéger pour ne pas geler toute la nuit!

Finalement, nous avons eu la température de notre côté pour cette deuxième journée. Il y a à peine eu quelques gouttes de pluies pendant la marche. Alexandre a même dû mettre ses lunettes de soleils à un certain moment!

Encore une fois, pendant cette journée, nous avons vu des paysages époustouflant. J’espère que les photos que nous vous avons mises ici rendent bien les paysages magnifiques et les couleurs franches que nous avons eu la chance de voir en vrai!

Encore des moutons… même au milieu de nulle part! Contente de ne pas être le fermier qui doit tondre ces moutons une fois de temps en temps… Ça doit être une tâche bien complexe de les récupérer!

Pendant la marche d’aujourd’hui, nous avons traversé des champs de bouette sulfurique (comme vous pouvez voir en beige sur la photo ci-dessous). Ça collait pas mal aux bottes! Je devrais même être en mesure d’en ramener au Canada…

En route, nous avons croisé un groupe qui faisait le même trajet que nous, mais en vélo de montagne. Ça devait être bien agréable pour les descentes, mais pas mal moins pour les montées… surtout qu’il y en avait pas mal des montées! En un vélo et un sac à dos (sur mon dos), il me semble que le choix est facile! Mais bon… chacun ses goûts!

Nous sommes arrivés à notre 2e campement sous le gros soleil! Le termomètre de l’auberge indiquait même 22 degrés Celcius (un record pendant notre voyage). Quel bonheur de monter la tente sans pluie. 🙂 Alexandre a aussi pu profiter de la lumière parfaite pour prendre de magnifiques photos :

Avec un aussi beau soleil, on se sentaient vraiment en vacances dans le sud! Nous avions même de la musique… gracieuseté de notre voisin de tente qui a cru bon de partager ses goûts (très discutables) en matière de musique avec l’ensemble du campement!

En plus du soleil, Alexandre était particulièrement content aujourd’hui puisque deux personnes sont venues lui parler pour lui poser des questions/le complimenter sur ses équipements! Un suisse lui a demandé des informations sur son poêle puisqu’il aimait vraiment le son (pensez au décollage d’une fusée) et la rapidité de cuisson celui-ci. Puis, un allemand lui a demandé la marque de son étui étanche pour son appareil photo!

Coucher du soleil sur notre 2e campement
C’était magnifique de voir le soleil se coucher sur notre campement aux tentes multicolores 🙂

Jour 3 : Álftavatn à Emstrur/Botnar (15-18 km)


Une autre journée sous la pluie! J’ai eu une petite pensée pour mon amie Karine qui est passée au dessus de nous en direction du chaud soleil de Nice, dans le sud de la France. Je dois t’avouer ma chère Karine que je t’ai envié l’espace d’un instant quand il c’est mis à neiger au cours de notre journée… Hihi!

Troisième journée : le beau soleil du matin a rapidement fait place aux nuages!

Lorsqu’on s’est levés, Alexandre m’a annoncé que plusieurs marches « complémentaires » partaient de notre campement… Pour ceux qui ne connaissent pas, les marches complémentaires sont des marches (de quelques kilomètres) qu’il est possible de faire le matin avant d’entamer notre marche jusqu’au prochaine campement… Pas besoin de vous dire que je n’étais pas (du tout) intéressée! J’en ai eu amplement pour mon argent avec la marche principale!

La journée d’aujourd’hui a été longue et plate (dans tous les sens du terme). En fait, après la traversée de deux rivières (une avec un pont et l’autre à pieds…), nous avons entamé la traversé d’un long désert de sable volcaniques… Après 13 km de désert, j’avais très bien compris de principe et j’étais prête pour un changement de paysage!

Une mention spéciale à ceux qui ont tout de suite enlevés leurs pantalons (pour faire la traversée de la rivière en bobettes) alors qu’on avait de l’eau aux chevilles…

L’eau de cette deuxième rivière à traverser était réellement glaciale… J’imagine que ce n’est pas si étonnant, puisque l’eau découle directement des glaciers de la région! À un certain moment, je pensais que mes pieds allait y rester… Une chance qu’elle n’était pas trop large!

Au cours de la journée, nous avons aussi eu plusieurs petits cours d’eau à traverser. Heureusement, il était possible de sauter par dessus ou encore de marcher sur des roches. C’était vraiment génial de ne pas avoir à enlever nos bottes à chaque fois (car non seulement ça nous fait perdre beaucoup de temps, mais en plus, c’est atrocement froid pour les pieds!). 

Du désert…

Encore du désert…

Un bon dîner ré-hydraté…

… sous la pluie (au beau milieu du désert!)

Pour un moment, nous avons marché sur le bord d’une route destinée aux 4×4. Plusieurs « jeeps » sont d’ailleurs passés… Vu la pluie et le froid, la tentation de faire du pouce jusqu’au prochain campement était bien présente. Mais comme je savais que c’était important pour Alexandre de marcher et comme j’avais la petite voix de Maman Lyne dans ma tête qui me disait à quel point c’est dangereux de faire du pouce, nous avons poursuivi à pieds!

Pendant la marche, j’ai réalisé que mon sac à dos était bien léger à comparé de celui de « l’homme-mulet » que nous avons croisé… Malheureusement, nous n’avons pas pu le prendre en photo parce ça ne se fait pas… Mais nous avons croisé ce couple où le gars avait un sac qui faisait pratiquement sa taille alors que sa blonde (ou peut-être bien son ex suite à cette marche…) ne transportait que l’équivalent que d’un sac d’école!

Il est possible que ce paysage de sable volcanique vous rappel la lune… Eh bien! Vous n’êtes pas complètement fou. Semblerait-il que les astronautes (du programme d’Apollo) qui sont allés sur la lune se sont entraînés ici!

Même sous la pluie, on garde le moral! (Merci aux 20$ de chocolats que nous avions apportés! Nous avons eu l’air de deux enfants lorsqu’on a dévalisé le dépanneur du coin avant de partir. Mais ça en valait vraiment la peine. Rien de mieux qu’une barre de chocolat pour redonner le sourire!)

La bonne nouvelle de cette journée, c’est que nous avons découvert que le sable volcanique est un excellent amortisseur pour les descente que nous avions à faire. C’était beaucoup plus doux sur les genoux. Nous avons cependant trouvé ça beaucoup plus complexe lors des montées alors que chacun de nos pas renfonçait! 

Heureusement qu’il y a eu beaucoup de vent en fin de journée… Nous avons pu arriver tout sèches à notre campement! Nous avons tout juste eu le temps de monter notre tente et de nous installer quand il s’est remis à pleuvoir… -_- Vive l’Islande!

Notre 3e campement à l’horizon!

Comme nous sommes arrivés en fin d’après-midi, on a pu se faire de bons chocolats chauds et Alexandre en a profiter pour s’avancer dans la lecture de son livre… La vraie vie! En fait, une chance que nous sommes arrivés tôt à ce terrain de camping car le nombre d’espaces (non en pente) était limité! Les tentes étaient toutes les unes par dessus les autres afin de maximiser les espaces les plus plats. Nous avons donc dormi un peu en pente, mais le campement était tout de même magnifique avec se rivière qui coupait les bruits des autres campeurs.

J’ai complètement oublié de vous mentionné que tous les campements que nous avons visité (sauf la première nuit) étaient équipés de toilettes qui « flush » et de plusieurs douches… C’est quand même très étonnant car nous étions littéralement au beau milieu de nulle part! Le plus étonnant dans tout ça c’est que les campements avaient plus de douches que la majorité des camping que nous avons visités jusqu’à présent au cours de notre voyage autour de la Ring Road! Dommage que nous n’étions pas au courant… comme nous avions ni serviettes, ni savon/shampoing, nous sommes restés dans notre crasse!

@ Nicolas : Alexandre a failli perdre le Spot aujourd’hui… Il l’avait mal rangé dans son sac, mais par chance, il était tombé dans des sangles qui l’ont retenu pour une bonne partie du trajet! On aurait eu l’air bien intelligent (et fait plusieurs parents inquiets) s’il était tombé sur le chemin sans qu’on s’en rende compte! 

Même si de retour au Canada, ça prendra un bon moment avant que je re-mange des repas déshydratés, nous étions ultra-contents d’en avoir amenés! Ici, ils coûtent environ 20$CAN chacun (alors que nous avons payé les nôtres entre 7$ et 10$!). Les autres campeurs sont donc obligés de cuisiner leurs repas, ce qui est désagréable et souvent plus pesant! (À moins de ne manger que de la soupe en poudre… Mmmmm!) Un soir, j’ai même entendu notre voisin de tente dire que son souper allait consister de 100grames de pâtes et de 3 amandes… Bonjour le rationnement! À noter cependant que les déjeuners sont vraiment dégeulasses… Nous les avons donc rapidement remplacés par des « Ramens » (les petites pâtes ondulées chinoises auxquelles ont ajoute de la poudre de bouillon de poulet ou de boeuf… à 0.20$, nous avons trouvé que ça nous donnait vraiment un bon rapport qualité-prix… Hihihi!).

Jour 4 : Emstrur/Botnar à Þórsmörk (15 km)

Ce matin, nous nous sommes levés sous la pluie… Il y a eu quelques éclaircis au cours de la journée pour nous permettre de prendre de jolies photos, mais nous avons principalement marché sous (beaucoup) de pluie… C’est à croire que les nuages islandais ont une capacité de rétention d’eau infinie!

En route, nous avons dû traverser un canyon avec deux petits ponts et des chaînes (pour éviter de tomber)

C’est la fête, le GPS indique que nous avons parcouru 50 km!
(Ça mérite une photo souvenir!)

Dîner sous une grosse pierre de lave volcanique afin d’être à l’abri de la pluie

Traversée de notre première forêt d’arbustes (et plus tard d’arbres) en Islande

Malheureusement, nous n’avons pas fait l’ensemble des 80km que nous voulions faire initialement. Pour faire cela, nous aurions dû poursuivre notre route pour un autre 23km par le passage de Fimmvörðuháls, entre les deux glaciers Eyjafjallajökull et Mýrdalsjökull. Semblerait-il que c’est une marche magnifique (qui peut se faire en une journée de 10 heures ou encore en deux jours…), mais je n’en pouvais plus d’être humide. Ce sera donc pour une prochaine fois! Qui sais… Nous pourrions faire un arrêt en Islande en allant pour un prochain voyage en Europe. Tout est possible! Nicolas/Papa¸, vous êtes partant? 😉 


En passant, à la fin de notre marche, il y avait 2 campements… Évidemment, nous nous sommes rendus au mauvais (celui où notre autobus ne passait pas…) Nous avons donc dû marcher un 30 minutes supplémentaire sous la pluie pour nous rendre au bon campement! Généralement, un camion fait la route entre les deux campements, mais il était brisé lors de notre passage… (J’imagine que nous n’avions pas suffisamment marché!) 


Une fois bien installés à notre « bon » campement (et une fois bien mouillé par la douche qui nous tombait sur la tête). Nous avons vu un autobus arriver! Tant pis… nous nous sommes finalement endormis afin pour prendre l’autobus du lendemain matin! C’était définitivement toute une aventure!

Nous avons tout de même terminé notre trek sur une superbe vue sur un glacier

Pour plus d’informations sur la marche que nous avons fait, sur les campements ou encore sur les consignes de sécurité, il est possible de visiter le site Internet suivant : http://www.fi.is/en/hiking-trails/laugavegurinn/

3 Replies to “Jours 17-18-19-20 : Trek Laugavegurinn”

  1. […] Posté le 20 août 20138 novembre 2016 J’ai mis à jour le message précédent racontant notre aventure sur en Trek! Préparez vous pour un bon moment de lecture, j’en avais long à raconté (avec beaucoup de photos, bien entendu!). Bonne lecture! Voici le lien : Jours 17-18-19-20 : Trek Laugavegurinn […]

  2. Je pense que je vais passer pour le trecking en Islande. Bien que les paysages sont magnifiques, marcher à la pluie, manger du déshydrater, coucher dans sa crasse (même quand il y a des douches…), dormir dans une tente humide, etc. Je préfère laisser ça aux "reals"! Vous vous êtes des vrais!!!

    Simon

  3. Que de beau souvenirs vous aurez. J'en connais qui auraient abandonné bien plus tôt.
    Normand

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